, Sur le dualisme caractérisant la critique de Soutine, nous renvoyons à notre travail « La matière de l'image. Les dualismes de la critique
, dans Sens et non-sens, p.17, 1966.
, Soutine, Catalogue de l'exposition à la Pinacothèque de Paris, éd, p.90, 2007.
, Soutine and his legacy », Soutine and Modern Art : The New Landscape/The New Still Life, op. cit, p.12
, dans Sens et non-sens, op. cit, p.13
, Âge d'homme, p.14, 1973.
, , 1972.
, L'ordre du chaos Catalogue de l'exposition, Soutine et les débats de son époque, pp.14-28, 2012.
, Soutine, op. cit, pp.32-43
, dans Sens et non-sens, op. cit, p.19
, , p.19
, , p.22
, Sur la proximité et les différences concernant la réflexion de H. Maldiney et M. Merleau-Ponty, cf. M. Carbone, Il Sensibile e l'eccedente, pp.31-36, 1996.
, dans Sens et non-sens, op. cit, p.20
, « Organisme de couleurs » est une définition donnée par Merleau-Ponty pour la peinture de Cézanne, cf. Id., « Le doute de Cézanne », dans Sens et non-sens, Texte établi par S. Ménasé, Paris, Gallimard, p.20, 1958.
, Logique de la sensation, 1981.
, , p.57, 2002.
, On peut trouver néanmoins chez Merleau-Ponty une valeur ontologique de l'opposition des forces dans le visible et une définition de l'invisible comme « chair » qui ne peut pas se résoudre par une simple « condition optique » et qu'on ne peut pas reconnaître dans les conditions empiriques de la vision. La réflexion sur le visible représentera pour Merleau-Ponty un effort pour penser une « endoontologie » de l'être comme « éclatement » des phénomènes, qu'il concevra avec une « cosmologie du visible, À propos de cette proximité entre Merleau-Ponty et Deleuze, A. Bouaniche propose une distinction : là où les forces décrites par Merleau-Ponty sont les conditions purement optiques de la visibilité des choses, « lumières, éclairage, ombre, couleur » (M. Merleau-Ponty, L'oeil et l'esprit, p.313, 1964.
, Art éclair de l'être, Chambery, éds. Comp'Act, p.58, 1993.
, Dans cet essai Merleau-Ponty fait écho à la théorie de la perception de la phénoménologie de Husserl. J.-F. Lyotard s'intéressera comme Merleau-Ponty à la peinture de Cézanne pour ce même aspect, mais il évoquera d'une expérience de « dépossession » n'ayant plus à voir avec « un ordre naissant » de la perception correspondant, selon Lyotard, à une problématique téléologique à dépasser. Pour lui, seul « le désir » peut rendre compte du processus de « dé-représentation » mis en acte par Cézanne, pp.41-74, 1971.
, dans Sens et non-sens, op. cit, p, pp.13-14
, Soutine qui met en place un mécanisme efficace de confrontation entre les lieux filmés ou photographiés et les tableaux du peintre inspirés par ces lieux. Chaïm Soutine, documentaire filmé de Valérie Firla et Murielle Levy, réalisé par Valérie Firla, couleur 16/9e, 52 min, Les Productions du Golem, éd. Réunion des Musées Nationaux, 2008.
, , 1937.
, Soutine, op. cit, p.87
, Sur l'opposition à la science, cf. H. Bergson, La Pensée et le mouvant, p.78, 1990.
, Même quand il s'inspire des thèmes de la tradition, il n'utilise pas l'image d'un autre tableau, mais toujours un sujet de la nature. D. Sylvester, « Introduction » à The Arts Council, Soutine peint toujours en présence d'un sujet, soit les objets d'une nature morte, p.8, 1963.
, , p.171, 1958.
,
, Dans les analyses postérieures « la profondeur » sera, pour Merleau-Ponty surtout, liée à l'exigence de définir une nouvelle ontologie, « l'endo-ontologie », sous la forme d'un « en-être » qui est aussi dépassement de la dimension d'un être dans les phénomènes, p.47, 2009.
, Cette dimension « spatio-temporelle » concrète sera définie par Merleau-Ponty comme « endo-temps » et « endo-espace » pour décrire la dimension de l'être trouvant sa représentation dans la peinture
, , pp.46-47
, Phénoménologie de la perception, p.300, 1945.
, sq. tr. fr. sous la direction de G. Ballange dans Id., La perspective comme forme symbolique et autres essais, précédé de la La question de la perspective, p.19, 1927.
, , p.19
, , p.56
, Le fait que Descartes n'ait pas étudié en détail la peinture est l'indice d'une théorie qui conçoit la vision comme subordonnée à la pensée, Cf. Ibid, pp.167-177
, , 2004.
, , p.170
, Id., L'oeil et l'esprit, p.16
, The Image and the Appearance of the Human Body, 1935.
, Le Monde sensible et le monde de l'expression, Ponty notamment lors de la définition du schéma corporel dans son cours de 1953 au Collège de France, cf. M. Merleau-Ponty, pp.132-165, 1953.
, Dans ce cours, les thèmes de l'ontologie du dernier Merleau-Ponty sont anticipés, en particulier dans la notion de mouvement dans l'espace pictural. Pour Merleau-Ponty la perception et la peinture sont expressions, en tant que langages. Le mouvement de la peinture aura un rôle fondamental dans le cadre de l'ontologie et des thèmes repris dans L'oeil et l'esprit. Pour une étude détaillée des points principaux de ce cours, p.66
, Monde sensible et le monde de l'expression », dans Philosophie et mouvement des images, Chiasmi International, vol.12, pp.77-104, 2011.
, Sur la vision en relief, cf. M. Merleau-Ponty, Le Monde sensible et le monde de l'expression, p.82
, Le visible et l'invisible, op. cit, p.268
, Ponty, L'oeil et l'esprit, p.80
, Notes de cours, p.172
, Le visible et l'invisible, op. cit, p.292
, La Chair des images, p.11, 2011.