, Service de reproduction des thèses, vol.590

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M. Bloch, Bibliothéque générale de l'Ecole Pratique des Hautes Etudes (EPHE) Vie section. SEVPEN, PARIS. Pages 648/669. ; Bloch M, 1963.

E. Juillard, . Meynier, X. De-planhol, and G. Sautter, Thèse présentée le 18 septembre 1985 à l'Institut National Agronomique ParisGrignon pour le titre de Docteur-Ingénieur en Sciences Agronomiques. Paris. 173 pages. Hanning G., 1972. Recherches sur les trames agraires. Logiques de structures foncières et paysages. L'architecture aujourd'hui N o 164. Pages 27/30, structures agraires et paysages ruraux, vol.17, 1957.

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J. R. Trochet, Aux origines de la France rurale, outils, pays et paysages. Mémoires et documents de géographie, CNRS édition, 1995.

J. Peltre, Les transformations du paysage et de l'habitat rural sous l'effet de la modernisation de l'agriculture, l'exemple lorrain. In L'avenir des paysages ruraux Européens entre gestion des héritages et dynamique du changement; les paysages ruraux et la dynamique de changement. Conférence européenne permanente pour l'étude du paysage rural, 1992.

. J. Deffontaines, les sentiers d'un géoagronome, 1998.

, Quatrième rencontres de Théo Quant. 11-12 février 1999. Presse Universitaire Franc-Comtoise, Deffontaines JP, 2001.

L. , interdisciplinarité : de l'écophysiologie aux sciences humaines

-. Artehis, , vol.6298

J. and E. Poil, Colloque de l'Association d'Histoire des Sociétés Rurales en partenariat avec l'Université de Valenciennes et le Conseil Général du Nord. Parc départemental de l'Abbaye de Liessies, 59740 Liessies. 22 et 23 septembre, Friches et lisières forestières mobiles en pays de Saint-Seine, 2011.

, Les petites terres se définissent ainsi : une profondeur allant de 20 à 40 cm, une charge en cailloux de 20 à 50%, un tonnage de terre fine compris entre 1900 T et 2900 T et une réserve utilisable potentielle en eau de 15 à 50 mm, Chambre d'agriculture régionale de, 1998.

J. L. Maigrot, Revue Scientifique BourgogneNature. 20-2014. 187-201. A titre comparatif, la surface minimale d'installation est à l'heure actuelle (2016) de 115 ha sur le plateau de Langres-Châtillonnais soit à 6/7 feux de laboureurs. Et si l'on aime les perspectives longues, on peut dire que là où vivaient environ 30 personnes ne vivent, Agriculture et paysage aux temps préindustriels : une évocation du paysage rural préindustriel des plateaux calcaires à travers le cadastre napoléonien, 2015.

, Le genévrier est un conifère non résineux

, Le concept de forêt ancienne est par ailleurs complémentaire de celui de « vieille forêt » qui lui, renvoie, non pas à l'ancienneté de l'état boisé

, Le nom actuel dans le cas ou le site est toujours actif ou le toponyme du lieu-dit dans le cas où le site n'est plus nommé ou bien à disparu complètement et n'est révélé que par des sondages ou bien une opération de fouille

, La chronologie déclinée en 7 valeurs (la classification se base sur la date de la première mention ou sur la date la plus haute fournie par l'archéologie. Figure 25 et 26) : PrA, les sites antérieurs à l

G. R. and L. Gallo-romain, ceux-ci ont la plupart du temps été fouillés avant guerre et ont fait l'objet de publication

, HMA, Les sites post-antiques antérieurs au X e siècle

, Med_1, les sites mentionnés dans la période X e, p.1350

, Med_2, les sites correspondant à la période 1350-1500, qui est celle d'activité des sites étudiés dans le cadre du programme « la mémoire du sol, vol.2

, Mod, les sites postérieurs à 1500

, NC, les sites non datés ou à la datation douteuse

. Origine, champ mentionnant la date de la première mention du site, lorsque celle-ci est connue 44

, Source

P. Beck and . Cf, Note 1. Les autres données proviennent de la carte archéologique. Service régional de l'Archéologie (SRA). Direction Régionale des Affaires culturelles

, Les données viennent principalement du dictionnaire topographique de la Cote d'Or d'Alphonse Roserot publié à Paris en 1924. Archives Départementales de la Côte

). M. Et-de-(abbé and . Chaume, Les origines du duché de Bourgogne

. Méthodologie-générale,

, que résument par exemple les modèles centre-périphérie, les champs d'interaction de type gravitaire, les trames hiérarchisées, les divers types de réseaux ou de territoires, etc. Elle analyse des processus qui sont à l'origine de ces structures, à travers des concepts comme ceux de distance, d'interaction, de portée spatiale, de polarisation, de centralité, de stratégie ou choix spatial, de territorialité, « L'analyse spatiale met en évidence des structures et des formes d'organisation spatiale récurrentes

, Elle constitue une interprétation du monde réel. L'intérêt de disposer d'une base de données géoréférencées réside dans la possibilité d'en exploiter les fonctionnalités, principalement : * Procéder à des opérations entre parties d'un ensemble, (union, intersection, association), L'information géographique est composée d'informations géométriques, descriptives et topologiques

, * Consulter les données attributives et en créer de nouvelles

, * Faire des sélections sur un ou plusieurs attributs ou objets

, * Procéder à des calculs de surface ou de distance

, * créer une ou plusieurs zones tampon

, L'information géographique peut répondre aux questions : Où ? : Recherche spatiale d'objets par rapport à leurs caractéristiques

, Comment ? : Recherche de relations qui existent entre différents objets, création d'une nouvelle information par croisement d'informations, Quand ? : Recherche de changements intervenus sur les données, Recherche de caractéristiques d'objets par rapport à leur positionnement

, La question porte sur la dynamique du paysage et donc du peuplement du Haut Val Suzon : comment interpréter l'allure du paysage actuel, la disposition relative les uns aux autres des couverts végétaux, des peuplements végétaux, et quel rôle ont joué dans cette construction paysagère 48 les aménagements anciens dont les habitats actuellement désertés font partie

, dont le modèle rayonnant « en arbre » depuis un lieu central est un cas particulier. La trame est le dessin des tracés de communication de toutes sortes, avec, leur interconnexion, les carrefours, les passages plus ou moins obligés, etc. Il est postulé que les tracés réguliers observés en chronologie relative comme antérieur aux tracés rayonnants depuis un habitat seront désigné comme « antique

D. Pumain and T. Saint-julien, L'analyse spatiale, 1 Localisations dans l'espace. Paris, A. Colin, coll. Cursus, 167 p, 1997.

, appropriée et aménagée en fonction des moyens technico-économiques et sociaux-juridiques du moment pour réaliser des projets et pour en vivre. Le milieu ainsi aménagé sera transmis à la génération suivante qui elle aussi se l'appropriera selon des modalités propres à ses projets et ainsi de suite au long des siècles (hybridation)

, L'analyse des données

, Les relations entre habitats déduites de la toponymie du Cadastre Napoléonien

, Position des habitats désertés dans le dispositif de desserte « napoléonien

A. Une-grande-Échelle, relation aux sites désertés, à une forme ou à un ensemble de formes (linéaires et/ou surfacique) ou à une occupation du sol particulière. 1.3.1. Les dessertes des habitats désertés

*. Le-groupe-sud,

*. Le-groupe-de-val-suzon,

, Autres dessertes, Les Four à Chaux Les charbonnières. 1.3.3. Evolution, distribution et desserte des chaumots

, Les structures rayonnantes

L. 'espace-archéogéographique-du-haut and V. Suzon, Proposition de segmentation. 1.6.1. Ager : les finages. 1.6.2. Marges le Saltus

, Les Strates spatio-temporelles : Le palimpseste

, La période anté-médiévale

. La-période-médiévale,

, La période post-médiévale

, Sauf indication contraire toute l'iconographie, photographies, cartes, plans, copie d'écran sont de l'auteur de ce rapport. La légende de toutes les cartes se réfère à l'encodage présenté dans la partie 1

». Echantillonnage-«-phosphore and . Croix, On note la présence d'une bande régulière de pierres sur le coté ouest : trace de murée écroulée ? Vers les Espitiaux-Casquette, Ancien chemin venant du plain d'Ahuy et qui n'est plus indiqué sur la carte IGN

L. En-combe-d'eté and V. Long-du-chemin-du-fond-de-combe-qui-relie-le,