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,. Franco-fabbri and . Taxonomies, , p.12

, Les amateurs sont « usagers de la musique (c'est-à-dire des pratiquants actifs d'un amour de la musique, que celui-ci passe par le jeu, la fréquentation d'un groupe, l'assistance au concert ou l'écoute de disques et de la radio) ». Antoine Hennion, Sophie Maisonneuve, Emilie Gomart, Figures de l'amateur. Formes, objet, pratiques de l'amour de la musique d'aujourd'hui, Paris, La Documentation française, p.51, 2000.

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. Ibid,

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J. H. Jackson, Making Jazz French. Music and Modern Life in Interwar Paris, p.112, 2003.

, Le trombone joue dans le registre grave, fournissant une mélodie basse grave et délibérée ; la clarinette joue des figures musicales plus complexes, qui se composent souvent d'arpèges ou d'autres traits rapides sous les doigts ; le cornet sonne la plupart du temps dans le registre medium, jouant des mélodies moins élaborées que la clarinette, mais dynamise l'ensemble par les lignes mélodies swinguantes. » (ma traduction). Ted Gioia, The History of Jazz, Pour définir stylistiquement le jazz hot, je me réfère à la description de l'historien du jazz américain Ted Gioia : « Le moment le plus caractéristique dans ces enregistrements du début du jazz, p.155, 1997.

J. H. Jackson, , p.155

. Olivier-roueff, , p.129

, Mais ses tentatives de définitions, motivées d'abord comme moyen de mettre à part le jazz hot des autres musiques, insistent surtout sur la capacité des noirs-américains à pouvoir jouer cette musique grâce à des qualités innées. Panassié va d'ailleurs confirmer sa pensée par La Véritable musique de jazz (1942), en se montrant encore plus enthousiaste à propos de la culture noire(-américaine) qui lui aurait apporté le jazz, pp.175-176

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. Hugues-panassié, , p.16

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. Ludovic-tournès, Il faut cependant remarquer que cela concerne largement Paris et la section du Hot Club issue de la capitale, p.50

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. «-l', enthousiasme affiché par certains jeunes gens était même fort importun lorsqu'il se manifestait par des cris, des applaudissements en plein milieu exécution, soi-disant pour saluer les mérites d'un soliste, en réalité pour le plaisir de faire du bruit -de telle sorte que le passage suivant était impossible à entendre. Quant à ces gens qui rient bruyamment pendant les solos de trompette et de trombone de Cootie et de Tricky Sam et empoisonnent le plaisir des autres auditeurs, ce sont ces mêmes gens qui vous jettent des regards furibonds et vous traitent de malotru si vous êtes pris d'un fou-rire -cependant silencieux -devant les braillements et la bouche en cul-de-poule d'un ténor ventripotent poussant le grand air de la Tosca, p.113

, La revue se nommera ultérieurement Jazz-Tango Dancing, p.66

L. Tournès, , p.47

J. H. Jackson, , p.184

C. Delaunay, Repéré par Ludovic Tournès, op. cit, p.42

L. Tournès, Les citations sont tirées du numéro de Jazz Hot de novembre, p.42, 1938.

. Ibid,

. Ibid,

, Cette maîtrise passe par la création de manuels, de revues d'amateurs et de réunions entre « gramophiles », qui deviennent alors « le lieu de débats sur le bien-fondé et les modalités d'une écoute à inventer ». Cf. Sophie Maisonneuve, « "La Voix de son Maître, Communications, vol.81, p.51, 2007.

, Le son de l'enregistrement électrique se caractérise par « un volume sonore inédit, un spectre harmonique nouveau (des timbres entendus comme des « bruits ») [et] des sensations inouïes ». La « naturalisation » de cette nouvelle matérialité sonore consiste à produire des ajustements dans le dispositif auditif (objets techniques, corps, dispositions de l'auditeur), nécessaire pour l'auditeur afin qu'il s'habitue à ce nouveau type de son

. Olivier-roueff, , pp.144-146

W. Félix and . Sportis,

. Le-disque, tint une très grande place dans mon existence : simple auditeur, documentaliste, discographe, collectionneur ou promoteur de firmes phonographiques, je lui ai consacré, à une certaine époque, jusqu'à dix et douze heures par jour, p.226

. Olivier-roueff, , p.149

C. Delaunay, , p.230

. «-il-ne-suffisait-pas-d'isoler-le-hot, encore fallait-il le faire exister à travers ses musiciens. Panassié, suivi dans cette tâche par Charles Delaunay, entreprit un travail de nomination des musiciens, en un temps où aucune maison de disque ne s'avisait de mentionner les noms des musiciens qui figuraient dans les enregistrement, Philippe Gumplowicz, 1996.

L. Tournès, L. Dans-ludovic-tournès, and . Vadelorge, Hot Clubs : des sociétés savantes au service de la diffusion du jazz, Les sociabilités musicales, p.108, 1997.

, Ce mode de diffusion était nécessaire dans un contexte où les disques de jazz hot sont publiés pour la plupart aux États-Unis, rendant rares et chers leur disponibilité en France. Cf. Ludovic Tournès, p.45

, Une lecture du poème Fonds secrets de Pierre Reverdy avec le trompettiste Philippe Brun

, Django Reinhardt et les violonistes Stéphane Grappelli et Eddie South d'une partie du Concerto pour deux violons en ré mineur de Jean-Sébastien Bach, Cf. Ludovic Tournès, p.52

G. Régnier, Jazz et société sous l'Occupation, p.75, 2009.

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, Programmes de la Radiodiffusion française, vol.44

, Je vous renvoie ici au post de blog que j'ai effectué sur la question : « Discothèque et pickup américain », par Lucas Le Texier. Publié sur Ondes de jazz

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, Programmes de la Radiodiffusion française, vol.45, p.14, 1945.

, L'hebdomadaire change de nom en fonction de son année de publication (Radio 44 pour 1944

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H. Panassié, « Pour une collection de disques de jazz, vol.44, pp.8-9, 1944.

C. Delaunay, , 1944.

. Ibid-;-de-george-gershwin, On appelle généralement « jazz symphonique » une musique qui mélange les techniques du jazz et de la musique classique. L'exemple le plus typique est la Rhapsody in Blue, 1924.

B. Vian, En avant la zizique? Et par ici les gros sous, p.171, 1996.

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. Ibid,

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G. Regnier, En plus du programme national, la radio d'État se dote d'un second programme appelé « programme parisien » en janvier 1945. Cette station se veut plus « légère » que sa grande soeur et propose un programme autonome par rapport à son aînée, composé de plus d'émissions de variétés et de musiques, Jazz et société sous l'Occupation (1940-1944) », Thèse de doctorat en histoire, sous la direction de Pascal Ory, p.78, 2005.

, Je remercie ici Alain Gedovius pour les documents et les informations communiqués à ce sujet

, Ceci est valable pour les émissions d'avril à mai 1946, selon les textes d'émission entre notre possession, qui sont diffusées le mardi soir. L'émission semble avoir été rabotée d'un quart d'heure par rapport à ses débuts

, Elle semble aussi avoir changé de jour, puisqu'elle était diffusée le lundi en octobre, 1945.

, Quoi qu'il en soit, Soirée à Harlem ne semble pas avoir été reconduite à la rentrée 1946 -bien que Gedovius anime encore un nombre conséquent de programmes à la radio d'État, Programmes de la Radiodiffusion française, vol.45, p.12

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. Ibid, , p.79

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, Tribune autour des disques du commerce, p.86040517

, Paris : Radiodiffusion Française, émission du 08/06/1948, Producteur, Paris : Radiodiffusion Française, Chaîne non spécifiée. Consultable à l'INAthèque, identifiant : PHD86040468. Certaines émissions de Panassié peuvent néanmoins évoquer des actualités récentes ou à venir : c'est notamment le cas lorsqu'il présente les formations de Louis Armstrong et de Mezz Mezzrow à l, Le Club du jazz

H. Barbelin and A. Hennion, Désaccords parfaits : France Musique et la fabrication du goût », Vibrations, vol.4, p.153, 1986.

, Sur le modèle de la controverse radiophonique ayant pour objet la musique, voir Hervé Barbelin, Antoine Hennion, ibid, pp.152-153

, Cela va notamment leur permettre de profiter des opportunités professionnelles qui naissent à la fin des années quarante et dans les années cinquante. Voir sur ce point Ludovic Tournès, « La popularisation du jazz en France (1948-1960) : les prodromes d'une massification des pratiques musicales, Revue historique, vol.617, issue.1, pp.123-124, 2001.

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, Émission évoquée dans une note de présentation pour la rentrée 1946 du Club d'Essai. Cf. Jean Tardieu, « Note pour Monsieur le Directeur Général, », Centre des Archives Contemporaines, 19950218.

, correspondance, rapports du service du Club d'essai à la direction générale (mars 1946-décembre 1953)

. «-un-quart-d'heure-de and . Charles-henry, Chaîne inconnue. Consultable à l'INAthèque, p.85008874

, « de 20 à 25 minutes exécutées par de petites formations de variétés » étaient appelées des « intermèdes ». Voir Hélène Bousser-Eck, « La Radiodiffusion française sous la IV e République : monopole et service public (août 1944-décembre 1953) », thèse de doctorat en histoire, Hélène Bousser-Eck relevait que ces petites séquences musicales, p.643, 1997.

, « Les jeux de la semaine du 7 octobre, p.86031145, 1945.

C. Ainsi-que-l'illustre, . Rudent, and . Le-genre-«-chanson-française, est un genre qui se caractérise par une collection de singularités plutôt que des conventions musicales définies. Le jazz eut un rôle prépondérant pendant les années quarante et cinquante. Cf. Catherine Rudent, « Chanson Française. A Genre Without Musical Identity », dans Gérôme Guibert, Catherine Rudent (Éditeurs), Studies in Popular Music, p.148, 2017.

, Kermesse aux chansons : émission enregistrée le 29 février, 1948.

, Les extraits entre parenthèses dans le reste de cette sous-partie en sont issus, sauf indication contraire. Selon les notices écrites de l'Ina, adjointes aux archives sonores, l'émission semble avoir été diffusée sur les deux canaux principaux de la radio d'État, soit sur le Programme National le dimanche 25 janvier de 13h18 à 14h00 et sur le, Consultable à l'INAthèque, identifiant : PHD85025176

, article de Isabelle Perreault, « De l'américanisme en France : le statut paradoxal de la musique jazz (1920-1930) », Babel

, qui consiste à remplacer les paroles par des syllabes dépourvues de signification, et choisies en raison de leur valeur rythmique et phonétique ». Cf. « Scat » (s. d.), dans CNRTL

S. Chalaye, Imaginaire colonial : fantasme et nostalgie », Africultures, vol.43, 2001.

S. Frith, « Towards an aesthetic of popular music », dans Simon Frith, Taking Popular Music Seriously, p.269, 2007.

, Le dimanche est un cas particulier, car il culmine de meilleur taux d'écoute que les autres jours de la semaine entre 9h et 11h et à 13h. Même si l'on ne peut développer ici, précisons que les émissions des critiques de jazz se déroulent à des heures souvent tardives par rapport aux émissions dites de « variétés », comme la Kermesse aux chansons qui se déroulait le dimanche midi, Selon les données sur les audiences qui émanent des sondages réalisés sous la IV e République, trois temps fort d'écoute existaient : à 20h00 (70 % à 80 % des détenteurs de poste écoutait la radio), pp.834-835

, Voir le dossier « Un demi-siècle de jazz sur les radios francophones 1932-1982 », établi par Jean-Jacques Ledos, « Quelle place pour le jazz à la radio ? », Cahiers d'Histoire de la Radiodiffusion, vol.75, p.103, 2003.

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I. Hacking, Résumés annuels des cours donnés au Collège de France en 2004-2005 disponible sur, p.389

G. Brisson, . Le, ». Et-la-radio-française, and J. Hot, Les extraits suivant en sont issus, vol.1, p.13, 1945.

. Ibid,

. Ibid, Toutes les citations du paragraphe sont issues de cet article

. Ibid,

, Il semblerait que le jazz aux États-Unis soit jusqu'à la Seconde Guerre mondiale moins proche d'un genre artistique délimité et largement accepté qu'un « segment du marché de l'entertainment musical au spectre esthétique large et relativement flou », Olivier Roueff, op. cit., p. 30. L'historien du jazz James Lincoln Collier a cependant rejeté le mythe de Panassié qui se serait intéressé au jazz avant les critiques américains. Cf. The Reception of Jazz in America: A New View, p.247, 1988.

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, C'est l'un de ses titres d'émission

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M. Laplace, ;. Sim-copans, and . Souillac-en-jazz, une Voix de l'Amérique, 1912.

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M. Laplace and S. Copans, une Voix de l'Amérique (1912-2000) », op. cit. Sim Copans avait déjà commenté cet épisode dans une interview donnée à Jazz Hot, vol.207, p.19, 1965.

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F. Ribac, « La prescription culturelle en question(s) », dans La prescription culturelle en question, François Ribac [dir.], Territoires contemporains -nouvelle série, vol.15

A. Gayraud, x2330ee. C'est ainsi qu'elle définit les « hits », une manière de montrer que les chansons les plus simples ne sont pas (forcément) des chansons faciles à écrire pour autant il n'y a pas d'équivalence entre la « facilité de la facture, Esthétique de la pop et composition : Set Séminaires MaMuPhi, 2017.

J. Rioux, «. , ». Dans, M. Fréchuret, L. B. Dorléac et al., Musée Picasso, 1946, L'art de la Reconstruction, pp.91-98, 1996.