C. Van-loo, Saint Georges terrassant le dragon, 1741, Musée des Beaux-Arts de Dijon, source : © Musée des Beaux-Arts de Dijon/François Jay

C. Van-loo, Musée des Beaux-Arts de Dijon, source : © Musée des Beaux-Arts de Dijon/François Jay, vol.1741

D. Poulot and F. Le-patrimoine-en, Une génération d'histoire, Culture & Musées, Hors-série, pp.189-213, 1980.

, Sur la pratique des collections et ses enjeux épistémologiques, voir : Krzysztof Pomian, Collectionneurs, amateurs et curieux, Paris, Venise : XVI e -XVIII e siècles, 1987.

, De la cathédrale à la petite cuillère, Plus récemment, sur les problématiques patrimoniales, voir aussi : Nathalie Heinich, 2009.

C. Hottin and C. Voisenat, Collection Cahiers d'ethnologie de la France, Éditions de la Maison des Sciences de l'Homme, Le tournant patrimonial, 2016.

J. Tornatore and L. , Collection Ethnologie de la France et des mondes contemporains, Éditions de la Maison des Sciences de l'Homme, Implications anthropologiques, 2019.

, Mon sujet de thèse concerne l'analyse de l'inventaire de François Devosge à travers lequel je souhaite reconstituer l'univers artistique dijonnais à la Révolution dans la sauvegarde et la protection du patrimoine à Dijon. Le manuscrit est conservé aux Archives Municipales de Dijon, pp.4-5

, Gallimard / Réunion des Musées Nationaux -Grand Palais, 1993. Marie-Anne Sire, La France du patrimoine, Les choix de la mémoire, 1996.

, 1794 : « Considérant qu'il importe à la gloire et au bien de la république de s'opposer au progrès et aux ravages du vandalisme, Série Q 678, Arrêté du 10 nivôse an III par le représentant du peuple Jean-Marie Calès

, d'après la statue du Musée des Offices de Florence du IV e siècle avant Jésus-Christ, d'après Praxitèle et l'Antinoüs du Belvédère dit le Méléagre ou le Lantin (ou Mercure) de Nicolas Bornier (n° 13) d'après une sculpture romaine copie d'un original grec, conservé au Musée Pio-Clementino au Vatican, tous ces marbres sont conservés au musée des Beaux-Arts de Dijon. Voir : Sophie Jugie et Emmanuel Starcky, 2000.

A. M. , 4 R I -1, Inventaire de François Devosge, vol.1792, pp.92-93

, La statue de Junon en marbre avait été destinée à orner en 1957 le Parc de la Colombière jusqu'au XXI e siècle, ce qui la fragilisa

, Ces statues de marbre sont presque des immeubles par destination

, Cette statue en marbre blanc est la copie du Guerrier combattant d'Agasias d'Éphèse, sculptée vers 100 avant Jésus-Christ

S. Ibidem, E. Jugie, and . Starcky, Gladiateur ou Guerrier agenouillé avec son bouclier et Hercule portant la peau du lion de Némée et le sanglier d'Erymanthe les pattes liées (côtés avant et arrière) ne reproduisent pas les reliefs du Louvre sous les désignations suivantes : Gladiateurs ou Guerriers, Lutteurs, Pugilistes et Joueurs de boules mais sont une interprétation du sculpteur dijonnais au XIX e siècle. À titre d'exemple, les dessins de l'album de « Croquis faits hors des murs de Rome de 1786 à 1791 » par Charles Percier sont une source précieuse dont la Vue du décor intérieur de la Villa Borghèse montre la Salle du Gladiateur du Casino de la Villa Borghèse avec la statue sur son piédestal, conservé à la Bibliothèque de l'Institut de France. Le statuaire s'est inspiré des pugilistes originaux qu'il a vêtus déclinant la thématique sur les quatre côtés, Contrairement à ce que l'article sur la copie du Gladiateur Borghèse affirme, les bas-reliefs de Dijon intitulés Gladiateurs ou Guerriers combattant, Pugilistes au ceste (côtés face et revers), p.25, 1887.

, De plus, selon la documentation du Louvre et de l'École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris, la statue au Louvre était visible sur son socle au XIX e siècle et ce serait au XX e siècle que la scénographie nouvelle aurait amené à la dissociation des deux éléments. Les basreliefs souhaités par Marcantonio IV Borghèse sont toujours exposés au Louvre. Le Gladiateur Borghèse est mis en scène sur un socle plus

S. Q. Adco, , p.676

, Le musée d'art sacré fut créé en 1980 dans l'ancien monastère des Bernardines et chapelle Sainte-Anne (l'église fut achetée par la ville de Dijon en 1950 et les bâtiments en 1979) par le Chanoine Marilier et fut géré par le musée de la vie bourguignonne -Perrin de Puycousin, et rattaché au musée des Beaux-Arts en, 1935.

, Adoration des bergers, L'Adoration des Mages, La Présentation au Temple de Jésus et La Fuite en Égypte. Quelques artistes célèbres avaient été sollicités afin de participer à la nouvelle décoration de la Chartreuse

, Or de l'an VII (1799) est une première liste des oeuvres cataloguées à l'usage du visiteur, comme du conservateur, faisant un premier état des biens de l'État. Suite à cette publication, la Notice des tableaux, statues, bustes, bas-reliefs, vases, bronzes, antiquités, dessins, estampes, etc. exposés au musée de Dijon, publiée en 1818 et rédigée par Févret de Saint-Mesmin constitue aussi bien un guide du visiteur qui a la possibilité d'acheter le livret à l'entrée qu'un catalogue inventoriant les oeuvres classées par catégories (peintures, sculptures, etc.) et par écoles (française, italienne, etc.), même celles qui ne sont pas exposées en raison d'une restauration

. Bibliothèque-municipale-de-dijon, Dictionnaire des auteurs de Bourgogne, Tome 3, lettres I à M, Ms 2063, fol. 49 recto, Jehannin de Chamblanc, 2049.

B. M. , Ms 2477-2484 Inventaire des ouvrages confisqués à la Révolution ; établissements religieux et émigrés, 1792 -début du XIX e siècle, Ms 2481, Bibliothèques d'émigrés : inventaire des estampes de M. Jeannin, 1796. Annie Haïk, Recherches sur la collection d'estampes d'un amateur bourguignon du XVIII e siècle, 2016.

, ADCO, Série D 3-116 Collège Godran de Dijon (1215-XVIII e siècle), D 3 Fondation (1581), D 13-15 Expulsion des Jésuites, pp.1762-1765

P. Gras, De plus, la collection Jehannin de Chamblanc, saisie à la Révolution, constitua le cabinet d'histoire naturelle qui se trouvait dans une des ailes de l'École centrale, malheureusement, aucune trace de ces spécimens. Le cabinet d'histoire naturelle fut cédé en 1833 à l'Arquebuse. Cependant, le Museum d'histoire naturelle fut bombardé pendant la Seconde guerre mondiale, ce qui détruisit une bonne partie de cette collection ancienne, Les bâtiments de l'ancien collège des Godrans, vol.24, pp.217-240, 1954.

S. Adco, François Seichepine, « Fardeaux communs et destins variés : les commissaires bibliographes de la Côte-d'Or durant la Révolution », dans Citoyennes et citoyens de Côte-d'Or en Révolution, Christine Lamarre et Claude Farenc [dir.], Dijon, Cahier du Comité départemental pour l'histoire de la Révolution en, pp.219-245, 2010.

S. Q. Adco, Voir aussi : B.M.D. Fonds Juigné, Documentation historique et généalogique, Généalogies bourguignonnes, Fatras généalogiques, 1134.

A. Marches, Histoire du Parlement de Bourgogne de 1733 à 1790, Société d'histoire et d'archéologie de Châlon-sur-Saône, 1851.

Q. Adco and . Villedieu-de-torcy, , vol.22

, Actif surtout en 1778, son enseigne se trouvait rue de la Harpe, près de la rue du Foin à Paris. Il cotoya le chimiste Antoine Lavoisier pour lequel il fit une balance de précision que posséda aussi Guyton de Morveau et créa le baromètre Fortin. Sur le globe céleste, la mention suivante indique : « Se fait et se vend chez le Sr Fortin

B. M. , 1706-1794) dont le fils Charles Richard de Vesvrotte (1757-1840) est étudié ici (Richard puis-aîné ou Richard fils) dévoilent un trait de la personnalité de ce parlementaire et révèlent les liens étroits qu, pp.1743-1748, 1738.

S. L. Adco, Tome 3, lettres I à M, vol.16, 1080.

. L'école-centrale-donnait-un-cours-de-physique and . De-chimie-expérimentale, Pierre Jacotot s'occupa du cabinet dès 1791, en tant que professeur de physique. Certains instruments scientifiques des XVIII e et XIX e siècles se sont retrouvés à l'université de Bourgogne lorsque l'université a pris place sur le campus Montmuzard et une partie au musée de la vie bourguignonne quand elle

, Hôtel Saint Louis) du 23 juin 1828 atteste des liens avec le Comité d'arrondissement pour l'instruction primaire, par déduction, des lieux d'instructions et des enseignants. Michel Pauty, Description illustrée des plus beaux instruments de physique de l'université de Bourgogne, Inventaire de Pierre Jacotot, 4 février 1805 ou 15 pluviôse an XIII, 2008.

M. Pauty, Ce livre contient le Catalogue du Laboratoire de physique de la Faculté des Sciences de l'université de Dijon de 1897 faisant référence à l'ancien catalogue du Laboratoire de 1847. Tous les instruments inventoriés se trouvaient dans la collection, 2000.