. D. Arch and . Doubs, T 314 et 275, in Albert TROUX, vol.275, p.139, 1926.

D. Denis, Salons, 1761, 1765. Essai sur la peinture, An IV, pp.1796-1797

T. Albert, , p.163, 1926.

D. Annuaire-du, , vol.17, p.1341, 1817.

J. Voir-marie-dominique, «. Breton, J. Wyrsch, and . Besançon-au-xviii-e-siècle, Rochefort-sur-Nenon, 1750-Besançon, 1828. Il était membre de l'Académie de Besançon, chirurgien en chef de l'armée du Rhin. Il y inaugure l'enseignement au lit du patient. Il est l'auteur d'une description abrégée des muscles, Une fraternité dans l'histoire. Les artistes et la Franc-Maçonnerie aux XVIII e et XIX e siècles, éd. Somogy, vol.75, p.149, 1912.

. Besançon, Son fils le général Pierre-Victoire Pajol ( 1812-1896 ) pratiquait la sculpture et est l'auteur, en 1878, de son mausolée visible à Nozeroy. 77. Une

, Marié le 17 février 1789 avec Marie-Diane comtesse du chapitre de l'Argentière. Fait 2 campagnes en Amérique, se trouve à 7 combats sur mer, au siège d'York et de Gloucester en Virginie », Huile sur toile, 95 x 74 cm. Acheté par le Musée de la Révolution de Philadelphie, Peint à Besançon

. H/t-en-médaillon, SD : FL Jourdain / P t an 10 ( 1802 ), Bern, Galerie Vogler, 28-05-2005, n°670, vol.50

. Vente, . Blois, and . Valoir-blois, , 200734.

H. , Jourdain pinxit 1780 ) classée au titre des Monuments Historiques le 12-06-1906, l'oeuvre se trouve depuis octobre 1973 au rez-de-chaussée du clocher. Elle fut longtemps accrochée dans la grande nef vis-à-vis de la chaire, la pose des vitraux modernes en 1863 décida de son raccrochage dans la nef, vol.500, pp.22-39

H. , , vol.44

W. Oeuvre-retrouvée-en-;-angleterre and . College, Sa gravure en 1828 par Laurent Cars contribua à la diffusion de la composition, vol.86, 2011.

, Parmi les oeuvres de l'église d'Arbois : un tableau du bisontin Jourdain », Les Dépêches

S. D. Huile-sur-toile,

H. Voir-liliane, Les représentations de saint Maurice en Franche-Comté du XVI e au XX e siècle », Actes du colloque « Politique, Société et construction identitaire : Autour de saint Maurice, pp.473-481, 2009.

H. ,

, Le personnage collabora à l'évasion de Louis XVI, puis il devint général de la Garde Nationale

, C'est à partir des oeuvres de sa galerie de tableaux qu'a été fondé le Musée départemental d'art d'Épinal

H. ,

, Nous empruntons la description écrite de cette iconographie à Guy BARBIER, auteur de la notice de ce même tableau in La Madeleine et les Bousbots, la vie d'une paroisse bisontine de 1800 à 2000, dir. Daniel Weber, Neo éditions, vol.95, p.60, 2006.

H. , 170 x 105 cm, la signature est masquée par la corniche des fonts baptismaux. L'oeuvre est à situer dans le dernier tiers du XVIII e siècle, décennie 1780 ou 1790. Classé au titre des Monuments Historiques le 22-03-1910. Cf. Gaston COINDRE, Mon Vieux Besançon : histoire pittoresque et intime d'une ville, p.88

V. Jean-françois and R. Les-représentations-de-notre-dame-libératrice, Travaux de la Société d'émulation du Jura, pp.15-44, 2007.

L. Vierge-remettant-le-scapulaire, H. , and S. 1786,

, Les dessins étaient dans une collection privée en 1995. Ils sont reproduits et font l'objet d'une notice dans Tableau d'histoire, dessins de ville, Besançon aux XVII et XVIII e siècle, 1995.

, Ultime Hypothèse : le tableau était-il prévu initialement dans un autre lieu, plus cohérent avec le thème représenté ? Notre-Dame libératrice est représentée comme une femme à l'allure altière portant une robe ou tunique d'inspiration antique. Son visage, à l'expression pensive, n'exprime aucune souffrance visible, selon les volontés du Père cistercien Pierre Marmet, à l'initiative de son culte. Son apparence est assez proche de l'iconographie de l'Immaculée conception dans laquelle la figure mariale foule un serpent tandis qu'ici Marie foule des drapeaux pris à l'ennemi. Notre-Dame Libératrice représente la Vierge du combat contre les hérésies, que ce soit à la base contre le jansénisme ou le protestantisme. Le bouclier foulé est celui de l'impiété. La présence des trophées de la victoire est empruntée à un art au service d'une monarchie victorieuse et conquérante 97 . Si l'on contemple le tableau de Jourdain, on constate que la figure mariale est monumentale et hiératique. Il lui manque une certaine souplesse et l'élégance d'un Joseph-Benoît Suvée, impérial par exemple dans son tableau peint pour l'église de Chamblay en 1786 98 ( fig. 13 ). En revanche, l'Enfant Jésus est plein de vie et son dessin restitue parfaitement les attitudes enfantines. À l'instar de l'Apothéose de Saint Maurice, le peintre bisontin perpétue le principe d'une narration à deux « étages » avec une scène secondaire en plongée, traitée d'une manière précise par un trait qui suggère le fracas des combats, une gestuelle effrénée et le corps à corps des combattants, Ils sont signés Jourdain fils et sont deux témoignages intéressants et rares des talents de François Jourdain fils ( fig. 14 et 15 ). Les dessins sont plutôt issus de la veine romantique ) selon Lyonel Estavoyer

H. Nathalie and L. , Excellence et singularité en régime démocratique, 2005.