. «-in and . Verbum,

C. Octave, . La, and . Saint, BARBIZIER, bulletin de liaison du folklore comtois, nouvelle série, décembre 1981, n°10, p. 478 « Pl. 10 n°70 » 19. Selon la base Palissy, le tableau présente une inscription sur la toile « M me Pantin com[tesse] / diuio pixit 1699/ ac funditus resic-/ -vavit x. Bourges. / Dolae, Ève fondeurs et ferronniers d'art, 1868.

, Monseigneur Louis-Anne Nogret, le 28 avril 1872 ( Notes savantes de renseignements pour differentes circonstances interessant la paroisse de Nozeroy, maitre-autel placé au fond du sanctuaire de l'église

C. Charnal, « Notes savantes de renseignements pour differentes circonstances interessant la paroisse de Nozeroy, maitre-autel placé au fond du sanctuaire de l'église », Archives du diocèse de Saint-Claude, évêché du Jura. Le coût de cet autel s'élève à la somme de 5 500 francs. 23. Elles furent déposées à la Collégiale de Dole

C. Charnal, « Notes savantes de renseignements pour differentes circonstances interessant la paroisse de Nozeroy, maître-autel placé au fond du sanctuaire de l'église », Elle fut payée à Baudrand la somme de 150 francs

, Nous avons consulté les registres du Conseil de Fabrique pour les années 1860, conservés à la bibliothèque du Centre diocésain de Besançon. Malheureusement ils sont manquants à partir de l'année 1857 jusqu'à l'année 1872. Nous devons à Guy Barbier l'information sur la présence d'une statue de Baudrand à l'église de La Madeleine, objets mobiliers, peintures murales, livres et vitraux, propriétés de la ville de Besançon, 2006.

A. Boillot, 156 ; la statue se situait à son époque dans la chapelle dédiée au Saint Sacrement. Elle est signée sur le socle

A. Boillot, , p.156

, Le pan gauche du manteau de saint Joseph est rejeté sur le bras opposé, ce qui accentue encore la stabilité du personnage

A. Marie-hélène, B. Guy, and . Laissez, , 2009.

S. Jean-marie and A. Ducat, Mémoires de l'Académie de Besançon, 1898, p. XXII-XXVII. 62. Voir note page suivante

, Elle fut canonisée en 1976 par le pape Paul VI

C. Brelot and L. , Annales littéraires de l'Université de Besançon, 1992, p. 628. C'est à l'érudition et l'amabilité de Claude-Isabelle Brelot et de M. Simon de Vaulchier que nous devons ces informations spécifiques, vol.1870

. Ibidem,

. Ibidem,

. Ibidem, lettre du 8 juin 1875 de Baudrand au marquis de Vaulchier ; ainsi un compte du 19 avril 1878 fait état des retouches de Baudrand sur le décor de boiseries de la salle à manger exécutées par un autre sculpteur

V. Jean-de and L. Vaulchier, , 2011.

S. Roger and . Deschaux, Jura )

S. Roger and . Deschaux, Dès 1875, Henri GONNARD publie une étude sur la cheminée de la DIANA, Monographie de la Diana, ancienne salle des États de la province du Forez, Pays jurassien, juin-juillet, et août-septembre, p.183, 1945.

, Ces mêmes motifs se retrouvent sur les trois panneaux de fonte de la cheminée du fumoir. La devise de la famille étant : Fulgore et pretio. 84. Ludwik Zaremba, travailla à Beaume-les-Dames et à Rougemont en

. Dole, Nous remercions très sincèrement Sylviane Sauge qui a porté à notre connaissance ce dossier des Archives municipales de Dole et Danièle Ducout pour sa précision sur le vitrail disparu de la bibliothèque. Ce vitrail, légué par le docteur Bouvier, vol.86

, La ville de Dole a souscrit une somme de 1 000 francs pour sa réalisation et le reste fut couvert par une souscription locale. Baudrand reçut de la ville 1 319 francs et vingt centimes pour sa collaboration à ce monument, Dole, Archives Municipales, dossier 1M19 90. Ibidem. Le coût en a été ramené à 4 900 francs, p.249, 1908.

, Cérémonie rapportée dans La République du Jura ( samedi 23 janvier 1886 )

, Monument élevé en hommage aux officiers et soldats de l'armée de l'Est, pp.1870-1871

, Inventaire des richesses artistiques de La France, Provinces, Statues historiques -Doubs, pp.138-139, 1908.

D. Alfred and . Ville-de-besançon, École des beaux-arts, Sociétés des amis des amis des beaux-Arts et des architectes du Doubs : notices Historiques, p.93

B. Besançon, Alfred DUCAT, Ville de Besançon?, ouv. cit., p. 22 ; cf. note 87 98. Besançon, Bibliothèque d'étude et de conservation, 1R 76, lettre au maire de Besançon 1 er juin 1893 99, Les Gaudes, vol.17, issue.1890, p.7

B. Besançon and . De-conservation, Copie du rapport de M. l'inspecteur Bellay. 101. Ibidem, lettre du 1 er juin 1893. 102. Ibidem. Il se destine à suivre les cours d

, Cette stèle fut aussi exposée par Baudrand dans la vitrine des Beaux-Arts, rue de la Préfecture, « institution bisontin avec un grand I, en matière de commerce et de promotion des arts », selon Lionel ESTAVOYER, « la vie artistique à Besançon de 1870 à 1914, Bulletin de la Société d'émulation du Doubs, pp.228-104, 1890.

L. Gaudes, , vol.17, p.7

. Besançon, Conseil municipal de Besançon, Procès-Verbaux de séances, 22 avril 1890, article « Voyage de M. le Président de la République -Don d'un objet d'art ». 107. Un médaillon en plâtre représentant Sadi Carnot se trouve à la Bibliothèque d'Étude

. Besançon, Archives municipales, R1 76, lettre du 26 février 1894, écrite par la mairie de Besançon. Malgré nos recherches poussées

L. Pascale-de-maulmin, M. Pasteur, ». Commémoratifs-dans-le-jura, L. De, and . Pasteur, Cahiers dolois, revue des amis de la bibliothèque et des archives de Dole, vol.11, p.229, 1914.

, En 1895, il tente d'infléchir la ville en exposant ses soucis financiers 113 . Le Conseil municipal de Besançon statue sur l'achat de cette oeuvre le 13 mars 1895 114 mais finalement ne donne pas suite à la proposition de Joseph Baudrand 115 . On perd ensuite la trace de cette oeuvre. Le statuaire fait encore parler de lui à la Vitrine des Beaux-Arts, organisée par l'Union Comtoise des Arts Décoratifs. Il expose un grand médaillon de femme, haut relief, dans un cadre Louis XV, en pierre blanche de Tonnerre 116 . Face au jugement d'un public exigeant, il est intéressant de remarquer l'originalité des oeuvres que Baudrand expose à Besançon. Bénéficiant d'une petite notoriété dans cette ville, il ne ménage pas ses efforts pour offrir aux visiteurs une statuaire de qualité. À partir de ce moment là, la situation de Baudrand semble se dégrader. Il tombe malade en 1896 et est contraint de renoncer à l'enseignement. Son poste à l'École des Beaux-Arts est assuré par Alfred Pasche, son ancien élève. Le 7 septembre 1897, sa femme écrit à l'École des Beaux-Arts pour quémander une aide financière pour son mari, à la charge de leur fils, Il poursuit en insistant sur la satisfaction de Louis Pasteur face à ce portrait, reçu en photo. Cette précision sous-entend donc que le sculpteur, qui n'a sans doute jamais rencontré Pasteur, s'est inspiré d'un autre portrait du grand homme. L'oeuvre semble ambitieuse et fait appel à des matériaux de qualité, vol.111, pp.1-76

L. Ibidem, . De-baudrand, and . Au-maire-de-besançon,

A. Besançon, En accord avec le directeur du musée des Beaux-Arts de Besançon, Henri-Félix Giacomotti

, Le rapporteur de la commission municipale indique que cette stèle conviendrait mieux à des villes comme

B. Besançon, Étude et de Conservation, R1 76, Lettre de madame Baudrand à Henri Giacomotti

. Besançon, État-Civil, 1 E 864, n°1084, Conservateur des Ponts et Chaussées, âgé de 40 ans, p.364

L. Baudrand, De fait, il ne parvient pas à s'éloigner du cadre de l'académisme provincial. Il réalise un parcours discret au sein d'un milieu conservateur, dans des cadres culturels bien établis, sociétés savantes, école des Beaux-Arts, Musée des Beaux-Arts où il fut donateur. L'orientation majeure de son art le rattache essentiellement au courant européen néo-médiéval et particulièrement au néo-gothique, apanage d'une clientèle aristocratique qui s'inscrit dans l'anglomanie ambiante ; ses tentatives pour s'adapter à l'évolution plastique de son époque se reconnaissent dans les stèles de Pasteur et des trois Carnot ( non localisées ), qui ne lui apportèrent cependant pas la consécration du milieu bisontin. Ses ateliers dolois de production d'ameublement et de petits monuments l'ont fait évoluer vers une pratique semi-industrielle de son art, empêchant peut-être le praticien de s'exprimer. En cette fin de siècle il ne peut se confronter aux sculpteurs contemporains marqués par un puissant réalisme, comme Clésinger qui s'inscrivit dans le diapason de son époque. Plusieurs de ses créations sont cependant dignes d, laisse une impression d'inaccompli. Inaccompli dans le sens où l'artiste n'a pu mener la carrière de statuaire qu'il avait sans doute espérée sous un autre jour